Son personnage a propulsé la déjà très populaire série «The Crown» dans des sphères stellaires, faisant planer son ombre sur la monarchie anglaise, avec des airs de déjà-vu. Diana, icône «cléopatresque» qui a menacé l’intouchable institution anglaise, continue de fasciner, 25 ans après sa mort.
Ce documentaire à l’iconographie résolument pop revisite son mythe d’un point de vue actuel, en racontant l’ascension et la chute d’une princesse broyée par un conte de fées cauchemardesque et qui, renaissant de ses cendres, finit emportée par un destin tragique.
Paul Burrell, son majordome, Andrew Morton, son confident, des spécialistes des médias et de la couronne qui l’ont suivie de près pendant près de 20 ans comme Alix Girod de L’Ain et Anne-Elisabeth Moutet, correspondante à Londres, nous racontent la princesse, l’icône de mode, la femme engagée et la mère, qu’elle était.
Londres, New-York, Sydney, Islamad, Paris, le film nous fait revivre sa vie tumultueuse, faite de tiare au goût amer, de paparazzis avides de trophées et de ménage à trois déchirant.