Laure a du mal à concilier son travail et sa relation avec Etienne, qui lui reproche de passer trop de temps à la clinique. Le jeune homme lui propose de quitter Saint-Tropez pour la Grèce, mais Laure hésite...

Lisa est très amoureuse de Benjamin, mais celui-ci est plutôt sensible aux charmes de Terry. Jessica, de son côté, doit passer des examens pour obtenir l'autorisation de donner des cours de danse...

Jane défend la responsable d'un refuge pour femmes battues, dont les voisins se plaignent de nuisances. Grayson représente un jeune homme qui prétend être un vampire.

Grayson représente un homme qui a besoin d'un contrat pour sceller son troisième mariage. Owen, lui, défend une actrice dont la réputation est menacée par la divulgation d'une ancienne photo dénudée.

Après le triple meurtre d'un avocat, de son assistant et de l'un de ses clients, le principale suspect est une suspecte : Monica Water, dont la ressemblance avec Trudy, la femme de Monk, est plus que troublante...

Quoique peu enthousiaste, Monk se laisse entraîner dans un camp de vacances avec Sharona et son fils Benjy. La détente est de courte durée. En effet, Benjy, en regardant dans un télescope de tourisme, assiste à un meurtre commis dans une chambre d'hôtel. Rita Brown, chef de la sécurité, s'empresse de faire boucler l'établissement et d'inspecter les lieux. Mais tout est impeccable. Trop, aux yeux de Monk, qui trouve cela suspect, alors que Sharona commence à soupçonner son fils d'avoir une imagination un peu trop débordante...

Juste avant de passer à la radio, Willie Nelson apprend que son manager, Sonny Cross, a détourné de l'argent. Peu de temps après, madame Mass, une femme aveugle, hurle auprès du corps de Sonny Cross, criblé de balles. Willie Nelson se tient à ses côtés.

QUOTIDIEN présenté par Yann Barthès est de retour pour une nouvelle saison sur TMC !

C’est un fléau en pleine explosion : les braquages de petits commerces et de supermarchés dans nos centres villes et nos galeries marchandes. Chaque jour en France, 7 commerçants sont victimes d’un vol à main armée. Fini les traditionnelles attaques de banque, les voleurs ciblent désormais les bijouteries, les supérettes, mais aussi les bars-tabacs ou les pharmacies. Deux boulangeries sont braquées chaque semaine !
Des attaques éclairs parfois très violentes, pour un butin parfois dérisoire de seulement quelques dizaines d’euros.
Derrière ces hold-up violents, il y a bien sûr des bandes organisées. Mais plus seulement. Aujourd’hui, ce sont des clients ordinaires qui volent par nécessité, pour tout simplement survivre malgré la crise. Leur larcin : parfois un simple sachet de piles ou un paquet de couches pour bébé.
Résultat pour les commerçants : chaque année, on estime que c’est 1% du chiffre d’affaires qui part dans les poches des voleurs. Une perte sèche colossale de 3,5 milliards d’euros.
Alors, beaucoup de responsables de boutiques s’organisent. Notamment les patrons de supermarchés qui recrutent des armées de vigiles et s’équipent de systèmes de vidéosurveillance très sophistiqués pour traquer les bandes organisées qui dévalisent les rayons high-tech ou alcool de leurs magasins. Et les méthodes de ces nouveaux « policiers de supermarchés » sont parfois étonnantes.
Vous verrez également que pour se protéger, de plus en plus de commerçants n’hésitent plus à s’armer ou à suivre des stages de self-défense. D’autres ont même décidé de mener des opérations « balance ton voleur », affichant la photo de voleurs présumés sur leur vitrine et sur internet. Des méthodes expéditives qui ne sont pas sans risque et qui flirtent parfois avec les limites de la légalité.
Vous découvrirez enfin que beaucoup de produits volés alimentent un véritable circuit parallèle, un marché de la misère où l’on trouve de tout, des produits pour bébé à la cosmétique… et à tous les prix !