Chroniques criminelles
L'affaire Patricia Bouchon : la joggeuse, le mari et le coupable idéal/La maison de la terreur

Produit par TF1 Production
Bouloc, une petite ville de 3 000 habitants, à 25 kilomètres au nord de Toulouse. Tous les matins, à 4h15, Patricia se lève en silence, pour ne pas réveiller son mari et sa fille, et part courir une demi-heure. Une routine quotidienne qu’elle ne raterait pour rien au monde. Mais le lundi 14 février 2011, son mari Christian Bouchon est inquiet : Patricia ne revient pas après son jogging et se volatilise sans explication. A-t-elle été victime d’un accident ? A moins qu’elle n’ait fait une mauvaise rencontre…
Le 29 mars 2011, un mois et demi après la disparition, un chasseur signale la présence d’un cadavre sous un petit pont qui surplombe une buse, à 12 kilomètres de Bouloc. Le corps retrouvé dans l’eau face contre terre et à moitié dénudé est celui de Patricia Bouchon.
Malgré la mobilisation de tous et les investigations des forces de l’ordre, il ne faudra pas moins de 7 années pour mettre la main sur un suspect et le mener devant les tribunaux.
Une enquête aux multiples rebondissements décryptée par Jacques Pradel.
Avec les témoignages :
Christian BOUCHON, Mari de Patricia
Carlyne BOUCHON, Fille de Patricia
Sandra DAMIANO, Sœur de Patricia
Me Léna BARO, Avocate des parties civiles
Me Stéphane JUILLIARD, Avocat des parties civiles
Me Guy DEBUISSON, Avocat de Laurent DEJEAN
Me Pierre DEBUISSON, avocat de Laurent DEJEAN
Jean COHADON, journaliste « La Dépêche du Midi »
Stéphane BOUCHET, chroniqueur judiciaire
Jean-Marc BENKEMOUN, expert psychiatrique
La maison de la terreur
Direction Adrian, une petite bourgade du Michigan, aux États-Unis. A la fin des années 70, un terrible incendie ravage une maison située face à la prison. A l’intérieur, les pompiers découvrent les corps de deux femmes. Elles ont été violées puis abattues d’une balle. Qui s’est acharné ainsi sur ces deux victimes sans histoires ? Et surtout pourquoi ? La réponse dans cette nouvelle enquête de « Chroniques Criminelles ».