Dimanche 16 novembre / TF1

Matin Masquer les programmes Matin

Alternative 0

10:05
Automoto
SportInédit

Sur une idée originale de : TF1 Production et François Pellissier
Présenté par Jean-Pierre Gagick

Nouveau logo, nouveau décor, nouvel habillage et nouvelle pilote : Automoto, présentée par Jean-Pierre Gagick, fait peau neuve. Cette saison, pour la première fois dans une émission automobile en France, une pilote réalisera les essais chronométrés : Sarah Bovy, la première femme à avoir signé une pole position en championnat du monde d'endurance, prendra place aux côtés des pilotes historiques de l'émission comme Anthony Beltoise ou Bruce Jouanny. Côté motos, les habitués d'Automoto pourront également retrouver Bader Benlekehal.
En parallèle, l'émission continuera de proposer une large diversité de sujets et de reportages : nouvelle rubrique pratique, essais, comparatifs, sports mécaniques, vintage, l'objectif est de réunir et d'expliquer les thématiques automobiles et motos au plus grand nombre. Tout en conservant les clés de son succès, l'émission fait peau neuve avec un tout nouveau logo, un nouvel habillage mais aussi un nouveau décor intégré au très secret circuit de Mortefontaine, la base d'essai de l'émission.
Toujours au fait de l'actualité et des priorités économiques des Français, Automoto proposera à nouveau cette saison des comparatifs exclusifs entre des modèles hybrides, thermiques et 100 % électriques. Les passionnés d'automobile et de moto retrouveront le plaisir de rêver et de s'informer avec de très nombreuses exclusivités : de la petite sportive aux modèles historiques ou iconiques !

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Après-midi Masquer les programmes Après-midi

Alternative 0

13:40
Reportages découverte
Jamais sans mon commerce
InfoInédit

Sur une idée originale de : la Direction de l'Information et Mathilde Pasinetti
Présenté par Anne-Claire Coudray

En France, près des deux tiers des communes de moins de 3 500 habitants n'ont plus le moindre commerce. Cafés, restaurants, boulangeries, épiceries, des lieux de service mais aussi de convivialité que les habitants voient inéluctablement disparaître depuis une vingtaine d'années. Pourtant, un peu partout en France, des habitants se battent pour sauver leur dernier commerce. Dans le Lot-et-Garonne, la Sarthe, l'Orne ou 'Ille-et-Vilaine, une équipe de " Reportages découverte " a suivi pendant près d'un an des femmes et des hommes déterminés à ne pas voir mourir leur village.

A Lamontjoie, un village de 500 habitants du Lot-et-Garonne, cela fait 40 ans qu'Hélène tient l'unique magasin du bourg. Son épicerie multi-services est ouverte 7 jours sur 7, de 8h à 19h. 40 ans qu'Hélène ne prend presque jamais de congés...mais elle commence à s'épuiser : " On fait la presse, la librairie, le relais-colis, le tabac, le dépôt de pain, des légumes, du sec, des gâteaux. Mais je sais que quand je vais arrêter, le contact avec les personnes va me manquer... Je vais en pleurer ! " Car sa décision est prise : quoi qu'il arrive, elle prend sa retraite dans 3 mois. Alors Lamontjoie retient son souffle, car sans repreneur à l'horizon, le village perdra son dernier magasin ! Tout le village va donc se lancer à la recherche d'un repreneur.

A Ancinnes, dans la Sarthe, les habitants ont refusé la fermeture de leur dernier commerce et ils ont trouvé une solution provisoire. Depuis que l'épicière a mis la clé sous la porte il y a 4 mois, des bénévoles se relaient chaque matin dans un local aménagé par la mairie pour assurer un dépôt de pain et servir le café. Denis, le maire de ce village de 900 habitants, se bat pour relancer un véritable café-épicerie-restauration : " On n'a pas de grand commerce proche, et on a des personnes âgées ici... Pour moi, ce commerce s'apparente quasiment à un service public. " Les efforts de toute la commune suffiront-ils à redonner vie au village ?

A Passais-Village, en Normandie, c'est le sort de la dernière boulangerie qui tient en haleine les 1100 habitants. D'autant qu'il n'y en a pas d'autre à plus de 10km à la ronde. Florence et son mari Dominique l'ont reprise il y a 20 ans, et veulent désormais céder leur fonds de commerce et prendre leur retraite. Mais qui serait intéressé pour venir s'installer dans ce village situé à une heure de la première grande ville, Alençon ? " On a du mal à trouver quelqu'un " s'inquiète Florence, " c'est ça qui est embêtant, de savoir qu'on a un super commerce, on bosse bien, et au final, on va se retrouver sans personne. Ça fait un peu mal quand même ! " Alors pour sauver leur boulangerie, les habitants multiplient les initiatives originales : mobilisation des enfants du centre de loisirs pour confectionner une banderole et même tournage d'un film promotionnel sur la boulangerie. Parviendront-ils à attirer l'attention d'un repreneur ?

A Champeaux, en Bretagne, l'unique bar-restaurant du village a fermé il y a deux mois. Pour améliorer l'attractivité du village et inciter d'éventuels repreneurs à se manifester, les habitants ont donc eu une idée insolite : créer un escape game qui s'inspire du passé moyenâgeux du village. " Ça ne peut qu'attirer les foules " s'enthousiasme Fabienne, la maire de cette commune de 500 habitants, qui a tout misé sur cette future attraction. " Et donc, par ricochet, emmener beaucoup de monde au restaurant. Donc, le repreneur potentiel aura vraiment une carte à jouer avec les clients qui viendront dans cet escape game et qui pourront ensuite aller chez lui ". Mais la nouvelle attraction peut-elle vraiment inciter un repreneur à se manifester ?

Pendant plusieurs mois, nous avons suivi ces Français qui se battent pour sauver leurs commerces, envers et contre tout.

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14:50
Grands reportages
Objectif : tout plaquer - Episode 1
Info

Produit par : Les Productions Du Moment
Sur une idée originale de : la Direction de l'Information et Mathilde Pasinetti
Présenté par Anne-Claire Coudray
Images : Florianne Amblard
Montage : Alexandre Gosselet

Qui n'a jamais rêvé de tout plaquer, s'envoler loin de la vie qu'il mène pour repartir à zéro ailleurs ou se reconvertir, dans un tout autre métier. Quand on est seul, c'est déjà un pari risqué, alors lorsqu'une famille décide de sauter le pas, c'est une sacrée aventure qui l'attend. Pendant près de 2 ans une équipe de " Grands Reportages " a suivi ces familles qui changent de cap. A travers leurs portraits cette série en deux épisodes explore les joies et les difficultés de ce défi.

Episode 1
Dans ce premier épisode, Mickaël est ce qu'on appelle un petit patron, à la tête d'une florissante entreprise de travaux publics et terrassements en Seine-et-Marne. Au bord de l'épuisement professionnel, lassé des "soucis", comme il résume d'un mot la charge qui pèse sur ses épaules d'entrepreneur, il a pris avec son épouse une grande décision : tout vendre et partir s'installer sur un atoll en Polynésie pour y ouvrir des chambres d'hôtes. "il est temps, j'ai cinquante ans, presque le même âge que mon père lorsqu'il a fait un AVC", explique Mickaël. Nous avons suivi la famille Mazzoli, depuis son départ d'Île-de-France jusqu'à son installation définitive sur l'atoll de Manihi. Les premières semaines s'avèrent plus que délicates. "C'est dur, je n'arrive pas à m'habituer à cette nouvelle vie, il faudra du temps", souffle Myriam, l'air dépité au bord du lagon.

Roxanne et Nicolas sont trentenaires. Ils vivent aux Antilles depuis 6 ans avec leur fille dans des conditions plutôt faciles. Mais ils ont décidé de venir en Métropole pour y apprendre le dur métier de maraîcher et s'installer à Guérande, en Loire-Atlantique. Malgré l'ampleur de leur défi, leur enthousiasme est total : "La plage et les cocotiers, c'est joli, mais ici en devenant maraîchers, nous allons donner un tout autre sens à notre existence", sourit Roxanne en plantant ses premiers navets tandis que son mari s'initie à la construction des serres.

Et puis, il y a l'histoire de Thomas, jeune financier de 27 ans installé à Grenoble qui plaque tout, son job, sa famille, son pays, pour aller aider les habitants pauvres d'une favela de Medellin, en Colombie. "Le chacun-pour-soi qui règne dans le monde de la finance, ce n'est pas mon truc, j'ai besoin d'une aventure collective et me sentir utile". Son aventure semée d'embûches pour ouvrir une auberge de jeunesse dans la Favela. Car là bas rien n'est simple et les cartels de narco trafiquants ne sont jamais très loin. Nous suivons son arrivée en Colombie et ses premiers succès auprès des familles locales, que Thomas initie au concept de tourisme social.

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