Dimanche 21 janvier / TF1

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11:50
Les 12 coups de midi
JeuInédit

Produit par : EndemolShine Production - Jeux et PISTACHE TV
Présenté par Jean-Luc Reichmann

Avec la présence exceptionnelle de Madame Brigitte Macron, Présidente de la Fondation des Hôpitaux, et Madame Anne Barrère, Vice-Présidente de la Fondation des Hôpitaux.
Du lundi 15 au dimanche 21 janvier 2024, Les 12 Coups de Midi, orchestré par Jean-Luc Reichmann, se mobilise avec ferveur pour apporter son soutien aux Pièces Jaunes, propageant ainsi une onde de générosité et de solidarité. Les candidats joueront pour accumuler le plus d'argent possible en faveur de la Fondation des Hôpitaux.
Tout au long de la semaine, le Maître de midi aura pour objectif de récolter un maximum d’argent lors du « Coup de Maître », afin de faire grimper la cagnotte au bénéfice des Pièces Jaunes. Chaque réponse correcte ajoutera une somme de 5 000 euros à la cagnotte, offrant un soutien précieux aux enfants hospitalisés.
La Première Dame, Madame Brigitte Macron, Présidente de l’opération, fera l’honneur de sa présence sur le plateau des 12 Coups de Midi lors de la toute première émission de la semaine, aux côtés d’Anne Barrère, Vice-Présidente de la Fondation des Hôpitaux.
Dimanche 21 janvier, Jean-Luc Reichmann aura le plaisir de remettre à Anne Barrère un chèque symbolisant la somme généreusement collectée.
Rendez-vous dans les 12 Coups de Midi pour la semaine spéciale Pièces Jaunes, du lundi 15 au dimanche 21 janvier, une occasion unique de se divertir tout en faisant briller l'espoir dans le cœur des enfants hospitalisés.

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Après-midi Masquer les programmes Après-midi

Alternative 0

13:40
Grands reportages
Dans les coulisses de la justice express
InfoInédit

Produit par : Tony Comiti
Sur une idée originale de : la Direction de l'Information et Mathilde Pasinetti
Réalisé par : Elvire Berahya-Lazarus
Présenté par Audrey Crespo-Mara
Images : Jean-Pierre Guillerez, Nathalie Verdier, Arnaud Maurial, Julien Diaz, François Gagnant, Perrine Ruffin et Nicolas Boetard
Montage : Johan Boulanger

C'est une procédure express et de plus en plus utilisée pour répondre à la petite délinquance : la comparution immédiate. En quelques heures l'accusé est jugé et souvent incarcéré. Cette procédure est pourtant décriée par les avocats qui estiment ne pas avoir le temps de préparer la défense de leur client. Comment fonctionne cette justice express ? Sur quels critères décide-t-on d'utiliser une telle procédure, et pour quels résultats ? Nous avons obtenu l'autorisation rare de poser nos caméras dans une salle d'audience, au tribunal de Mulhouse. Pendant plusieurs semaines, nous avons suivi le travail des policiers, celui des magistrats qui gèrent ces affaires, les juges d'instruction qui les président, et les substituts du procureur qui les orientent.

Benjamin Coulon et Marie Corne, au parquet, dirigent les enquêtes policières depuis la permanence pénale du tribunal. Ils doivent déterminer en quelques minutes sur le compte rendu des policiers s'il y a nécessité de juger en urgence. Une prise de décision qui exige rigueur et rapidité : "Tout policier qui place un individu en garde à vue doit en temps réel, aviser le parquet... Parfois, il est arrivé d'avoir 20 gardes à vue en même temps ! C'est une pression importante pour les magistrats qui doivent décider avec calme et détermination des suites à donner au dossier." explique Edwige Roux Morizot, procureur de la République de Mulhouse.

De l'interpellation à la salle d'audience, nous avons suivi plusieurs affaires, comme celle de cet homme de 50 ans, soupçonné d'avoir séquestré une femme. Des faits que le prévenu nie en bloc. Son passé judiciaire, six condamnations pour violences domestiques, risque de lourdement peser lors de l'audience, et il en est bien conscient " Toujours des histoires avec des femmes. Je sais que je vais pas passer à travers. Un prisonnier on le remettra toujours en prison ! "

L'unité de lutte contre les stupéfiants et l'économie souterraine du commissariat central de Mulhouse a interpellé un dealer de drogue. "Je ne suis pas Pablo Escobar" se défend le prévenu, chez qui les policiers ont retrouvé de la résine de cannabis. "J'ai perdu ma grand-mère, j'ai dépensé toutes mes économies pour son enterrement, et il y a peu de travail dans les boîtes d'intérim en ce moment". L'avocat commis d'office pense pouvoir lui éviter la prison...

Dans le box des accusés, ce sont souvent des récidivistes. Comme cet exhibitionniste, marié, père de deux enfants, qui travaille comme cadre dans une entreprise.... Mais déjà condamné 4 fois pour des faits similaires ! Ses dernières victimes : deux adolescentes de 14 ans, et une jeune fille de 22 ans, traumatisée. Cassiopée, la plus âgée, a peur de sortir de chez elle, " Je me suis rendu compte d'une présence. Il y avait un homme en train de se masturber en me regardant. Il s'est approché de moi. Il m'a fixé sans jamais un mot. " Comment va-t-elle vivre la confrontation avec cet individu ? Aura-t-elle le courage de dire ses souffrances à la barre du tribunal ?

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14:50
Reportages découverte
Artisans, trouver un repreneur : un défi
Info

Produit par : TF1 Production
Sur une idée originale de : la Direction de l'Information et Mathilde Pasinetti
Réalisé par : Laetitia Pongi
Présenté par Anne-Claire Coudray
Images : François Gagnant, Raphaël Licandro, Perrine Ruffin et Antoine Schmidt
Montage : Rodolphe Zagoury

C'est l'une des plus grandes richesses de la France, le terreau de nombreux savoir-faire : l'artisanat. Des métiers de passion qui rayonnent bien au-delà de nos frontières. Pourtant le secteur se retrouve face à une crise majeure : aujourd'hui, 75% des artisans ne trouvent pas repreneurs. Pour les "cédants", ceux qui veulent vendre leur boucherie, leur cordonnerie ou leur moulin, une course contre la montre s'engage afin que leur entreprise et leur savoir-faire ne disparaissent pas avec eux. Pendant près d'un an nous avons suivi des artisans qui se battent pour trouver des repreneurs.

En Dordogne, Jean-Jacques est le dernier boucher de la commune de Hautefort. Il a appris le métier de son père et y a consacré sa vie. En plus de sa boucherie, il sillonne les villages des alentours avec son camion pour servir les clients les plus isolés. A 65 ans, Jean-Jacques aimerait passer le relai. Ses enfants ayant choisi d'autres voies, il a mis sa boucherie et son camion en vente il y a quatre ans. " La boucherie, on ne va pas la vendre cher mais je veux qu'il y ait quelqu'un au moins ! ", insiste-t-il. Pourtant, dans quelques semaines, le boucher, fatigué, va arrêter les tournées. Et dans quelques mois, ce sera au tour de la boucherie. L'artisan ne s'avoue pas encore vaincu : il va tout mettre en œuvre pour trouver le candidat idéal pour lui succéder.
Près de Lille, Laurence est une des dernières canneuses artisanales de France. Depuis plus de vingt ans, elle réhabilite les techniques anciennes et se bat pour transmettre son savoir-faire. Il y a six ans, consciente que sa retraite arrivait à grands pas, elle a commencé à rechercher un repreneur pour son atelier et a formé plusieurs candidats. Mais à chaque fois, c'est un échec. Dans 15 jours, Laurence recevra Inès, une jeune femme intéressée pour un stage de cinq semaines. Si Inès fait ses preuves, Laurence lui apprendra toutes les subtilités et secrets de son métier et lui cèdera son atelier. Mais si la stagiaire n'est finalement pas la perle rare que recherche Laurence, l'artisane avoue qu'elle n'aura pas la force de continuer sa quête.

A Orbey, en Alsace, le moulin Marchand produit de la farine depuis près d'un siècle. Après son grand-père et son père, Claude est aux commandes avec son épouse Dominique depuis plus de quarante ans. A 67 ans, il a décidé de prendre enfin sa retraite, même si lâcher le moulin de son enfance est un crève-cœur. Claude cherche surtout un repreneur qui partagera sa philosophie d'un moulin familial et qui s'engagera à conserver son équipe de cinq salariés. Il a reçu des dizaines de dossiers et récemment l'un d'eux lui a tapé dans l'œil. Il s'agit de celui d'Ève, 59 ans, ancienne cadre supérieure dans l'industrie. Seul problème : Ève n'a aucune notion en meunerie et devra tout apprendre.
Enfin, à Carhaix en Bretagne, Jean-Jacques officie, lui, dans sa cordonnerie depuis 38 ans. En plus des chaussures, il répare les sacs, fabrique des doubles de clés et fait même un peu de serrurerie. Sa femme, Flavia, accueille les clients de la boutique atelier située en plein centre-ville. Seul cordonnier à 30 kilomètres à la ronde, Jean-Jacques ne manque pas de travail mais à plus de 60 ans, il a décidé de prendre sa retraite à la fin de l'année. Pour ses clients, c'est un choc, concède-t-il. Comme les repreneurs ne se bousculent pas à sa porte, le cordonnier a contacté la Chambre des Métiers et de l'Artisanat mais aussi un centre de formation des cordonniers. Est-ce que cela sera suffisant pour trouver un successeur ? Le compte à rebours est lancé : dans six mois, le cordonnier baissera le rideau définitivement si aucun candidat à la reprise ne se manifeste.

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