Grands reportages

Ils sont quelques-uns en France à avoir fait un choix...particulier. Vivre au quotidien avec un animal sauvage : un tigre, un ours ou même un alligator. Pour le plaisir, pour travailler ou pour transmettre leur passion, Brigitte, Damien, Frédéric et Philippe vivent une relation étonnante avec des animaux aussi attirants que dangereux. Une équipe de "Grands Reportages" a suivi pendant plusieurs mois ces curieux français. Ils nous font découvrir leurs animaux sous un autre angle et en profitent pour balayer pas mal de préjugés...

Philippe et ses reptiles : Philippe, vivant dans la banlieue de Nantes, partage sa maison avec deux alligators ainsi que près de 200 autres reptiles. Passionné depuis sa jeunesse, il souhaite partager sa fascination et sensibiliser le public français à ces espèces souvent méconnues, en organisant des ateliers pédagogiques.
Brigitte, la dompteuse de tigres : Ancienne dompteuse, Brigitte a ouvert son jardin près de Rouen aux fauves abandonnés. Elle élève avec dévouement des bébés tigres blancs, même si elle risque de devoir les rendre dans quelques mois, ce qui est une épreuve difficile pour elle.
Frédéric et son ours Valentin : Frédéric, près d'Orléans, partage une relation unique avec Valentin, un ours qu'il entraîne pour des spectacles sans muselière ni fouet. Il ambitionne de préparer un deuxième ours, Lucien, pour son premier spectacle.
Véronique et Damien, propriétaires du zoo de Labenne : Ce couple a quitté leurs carrières respectives pour réaliser leur rêve de gérer un zoo dans le pays basque. Malgré les défis financiers et logistiques, ils sont passionnés par leur projet et s'engagent à le faire grandir, en intégrant notamment des flamants roses dans l'infrastructure actuelle.
Ces récits mettent en lumière une vision intime et passionnée des relations entre l'homme et des animaux sauvages, rompant avec les préjugés et illustrant une dévotion puissante pour le bien-être animal.

C'est l'une des pièces les plus célèbres du palais de l'Elysée. L'une des plus sensibles aussi : situé dans les appartements privés du président de la République, le salon Paulin. Commandé en 1972 par Georges Pompidou au designer Pierre Paulin, pour "faire entrer la modernité à l'Elysée", le salon est une petite révolution dans le décor classique du palais avec son lustre monumental et son mobilier futuriste. Ce joyau du design contemporain n'avait pas été rénové depuis plus de cinquante ans. Pendant plusieurs mois, les équipes de Grands reportages ont suivi les coulisses du chantier exceptionnel au cœur du pouvoir.
Six mois de travaux, du sol au plafond, pour restaurer chaque élément afin de présenter un salon flambant neuf au public, lors des journées du patrimoine 2025.
Une mission délicate supervisée par Francis de Bazelaire. Architecte du patrimoine, il travaille à l'Elysée depuis 2008. Ce chantier a une valeur particulière à ses yeux : ce sera son dernier au palais. Il peut heureusement compter sur le travail d'artisans renommés :
Au Mobilier national, Nathalie Célas est chargée avec son équipe de tapissiers de donner un second souffle aux canapés et fauteuils iconiques, très usés après 53 ans d'utilisation.
Blandine Brochu, restauratrice spécialiste des objets métalliques, est habituée des chantiers prestigieux à Versailles ou au Louvre. Mais c'est la première fois qu'elle travaille sur du mobilier contemporain et le lustre monumental avec ses 8 000 tiges de verre va lui causer des difficultés techniques...
Raphaël Armand, créateur de luminaires, va lui devoir restituer l'effet vibrant de la lumière imaginé par Pierre Paulin.
Entre les délais serrés à respecter, les contraintes de sécurité spécifiques de l'Elysée et les imprévus, le Salon Paulin va mettre au défi cette équipe d'experts chevronnés !

Avec la digitalisation des services publics et privés, la multiplication des échanges sur internet, personne n'est à l'abri de se faire, un jour, voler son identité. Passeports, coordonnées bancaires, permis de conduire... font l'objet d'un trafic florissant, notamment sur le darknet. On compte chaque année plus de 200 000 victimes d'usurpation d'identité. Ces escroqueries tentaculaires transforment leur vie en enfer. Pendant un an, nous les avons suivies dans leur combat.

Amina, aide-soignante et mère de famille sans histoire n'arrive plus à vivre sereinement. Elle a été nommée, à son insu, gérante d'une société de BTP en faillite. Désignée responsable d'une dette de 500 000 euros, les impôts lui saisissent chaque mois la moitié de son salaire. " Je ne croyais pas qu'un jour j'allais vivre ça, c'est un cauchemar ! " Un sentiment d'impuissance et d'injustice qui l'affecte chaque jour un peu plus. Aidée de son fils, elle mène l'enquête pour prouver son innocence.
Brillante étudiante de 23 ans, Marianne ne dispose depuis quelques mois d'aucun papier d'identité officiel. L'administration refuse de lui renouveler son passeport car une autre personne revendique la même identité qu'elle. " J'ai l'impression d'avoir tous mes rêves détruits. J'aimerais que toute la France voit que je descends bien de ma grand-mère, que je suis bien la fille de son fils ! ". Une situation inextricable qui risque de l'empêcher de valider ses examens de fin d'études. Pour s'en sortir, Marianne va rendre visite aux membres de sa famille pour prouver sa filiation et se lancer à la recherche de son usurpatrice.

Chauffeur de poids lourds, Vasile s'est fait usurper son permis de conduire. Accusé, à tort, de plus de 3000 infractions, il ne peut plus prendre le volant et a perdu son emploi. " J'étais tout le temps au volant. C'est une partie de moi qui a été volée ". Depuis 8 ans, ce père de famille est au chômage et tous ses projets sont suspendus. Il vit un enfer administratif et doit contester ses amendes une à une. Des démarches coûteuses et chronophages...Dernier espoir pour lui : faire annuler son permis de conduire usurpé. Une procédure extrêmement lourde mais qui pourrait lui permettre de retrouver une vie normale.

Face à la lenteur des procédures et l'inefficacité des services de police, des hackers bénévoles viennent au secours des victimes d'usurpation d'identité. Leslie est mère au foyer et y consacre tout son temps libre. Depuis son ordinateur, elle infiltre le darknet où se revendent des centaines de papiers volés. " Ces personnes-là le font sans aucun remord. Ils sont sans pitié. C'est juste un bout de papier qui se vend très cher ". Son objectif : repérer les victimes pour les prévenir des escroqueries qu'elles subissent parfois sans s'en rendre compte !

Leur vie ressemble à la quête du Graal, et leurs trouvailles les mènent de surprise en surprise : pour les commissaires-priseurs, aucune journée ne ressemble à une autre, qu'ils aillent à la rencontre d'un collectionneur fou ou qu'ils découvrent un trésor insoupçonné, qu'ils croisent la petite ou la grande Histoire... Après des mois d'efforts, et leur lot de rencontres surprenantes, le temps s'accélère soudain lors des ventes aux enchères, où tout se joue en quelques heures, ou en quelques minutes, sous la houlette de ces showmen, qui manient le marteau comme un chef d'orchestre manie la baguette, et qui savent comme personne attiser le désir des acheteurs pour faire flamber les enchères... Plongée dans le quotidien palpitant des commissaires-priseurs, ces magiciens des enchères.

En région parisienne, Olivier Collin du Bocage s'apprête à relever le défi le plus fou de toute sa carrière : organiser la vente du squelette d'un des plus grands dinosaures existants, un spécimen unique au monde. Pour le quinquagénaire , c'est une opération hors normes, et une grande Première, qui va lui donner quelques sueurs froides...

Elsa Gody Baubau elle, va partir en Italie à la rencontre d'un couple de collectionneurs fous, qui ont passé 30 ans de leur vie à accumuler de manière compulsive des centaines d'automates, des milliers de jeux de bistrot, et surtout, une quantité colossale... et très envahissante... de flippers ! Cette commissaire-priseur établie à Chartres et spécialisée dans la vente de ce type d'objets va devoir les convaincre qu'elle est la meilleure pour disperser aux enchères une partie de leur collection.

Alexandre Millon, qui jouit d'une belle notoriété sur la place de Paris, va faire un grand saut dans l'inconnu en partant à la conquête du Vietnam, où il va organiser une grande vente aux enchères à laquelle il espère bien attirer les plus grands collectionneurs du pays :

Aymeric Rouillac résume pour sa part son quotidien comme un feuilleton à rebondissements : Sur les traces de ce commissaire-priseur du Loir-et-Cher qui travaille avec son père Philippe, nous irons à la découverte d'un lieu qui ne ressemble à rien de connu : le royaume de bric et de broc que s'est construit un artiste méconnu, Chomo, dans la forêt de Fontainebleau, où il vécut en ermite pendant 40 ans. Les Rouillac père et fils sont aujourd'hui chargés de vendre une centaine de ses œuvres, tellement inclassables qu'elles sont impossibles à estimer... Aux yeux de Philippe, c'est une très belle croisade.

Leur vie ressemble à la quête du Graal, et leurs trouvailles les mènent de surprise en surprise : pour les commissaires-priseurs, aucune journée ne ressemble à une autre, qu'ils aillent à la rencontre d'un collectionneur fou ou qu'ils découvrent un trésor insoupçonné, qu'ils croisent la petite ou la grande Histoire... Après des mois d'efforts, et leur lot de rencontres surprenantes, le temps s'accélère soudain lors des ventes aux enchères, où tout se joue en quelques heures, ou en quelques minutes, sous la houlette de ces showmen, qui manient le marteau comme un chef d'orchestre manie la baguette, et qui savent comme personne attiser le désir des acheteurs pour faire flamber les enchères... Plongée dans le quotidien palpitant des commissaires-priseurs, ces magiciens des enchères.
Dans le Loir et Cher, Philippe et Aymeric Rouillac, commissaires-priseurs de père en fils, doivent organiser la vente d'une centaine d'œuvres signées par un artiste iconoclaste qui vécut 40 ans en ermite dans la forêt de Fontainebleau : Chomo. Pour cela ils vont déployer les grands moyens, en louant à grand frais la plus grande salle de spectacle de Tours pour y exposer les œuvres. Mais le souci, c'est que cet artiste méconnu n'a aucune côte sur le marché de l'art... Comme l'explique Aymeric, Aymeric et Philippe vont-ils gagner leur pari, et séduire de nombreux amateurs avec ces créations atypiques ? Ils pourraient bien avoir une énorme surprise !
Elsa Gody Baubau, commissaire-priseur à Chartres, qui avait vendu une incroyable collection de flippers dans l'épisode précédent, vient cette fois de se voir confier une collection de bijoux exceptionnelle : rivières de diamant, bagues, bracelets, impressionnant collier serpent en émail et pierres précieuses, et surtout, une broche barrette ornée de 2 gros diamants, qui leur est arrivée dans un écrin Chaumet. Mais le bijou n'est pas signé. Elsa va donc devoir se rendre place Vendôme, au siège de la prestigieuse maison de joaillerie, pour tenter de faire authentifier la broche. Pour elle l'enjeu est immense : selon qu'il soit authentifié ou pas, le prix de ce bijou peut varier du simple au double... La broche sera-t-elle authentifiée ? Elsa fera-t-elle flamber les enchères avec cette collection de bijoux ?
A Limoges, Nicolas Constanty lui, mise sur des produits bien plus populaires pour tenter de démocratiser les enchères : des biens de grande consommation, comme des appareils électroménagers légèrement endommagés ou des plantes et des articles de décoration en surstock, vendus en collaboration avec le gérant d'un magasin de déstockage. A l'heure où le pouvoir d'achat est une des principales préoccupations des Français, ces ventes ont le vent en poupe... Nicolas nous fera découvrir cette tendance en plein boom, et nous donnera ses conseils pour être certain de faire de bonnes affaires.

Pour Alexandre Millon, qui partait à la conquête du Vietnam dans l'épisode précédent, le jour J est arrivé : il espère que sa vente aux enchères d'art asiatique à Hanoï va attirer une clientèle nouvelle, et richissime, d'hommes d'affaires et de grands collectionneurs, dans le marché émergent que représente ce pays. Et la vente commence sous les meilleurs auspices : Pour séduire ce public encore peu accoutumé aux ventes aux enchères, Alexandre va sortir le grand jeu et faire le show... Avec un résultat qui va dépasser toutes ses espérances ! Enfin en Normandie, Guillaume Cheroyan va découvrir une incroyable collection de véhicules Citroën, chez un amoureux de la marque qui a acheté de manière compulsive, pendant toute sa vie, tous les véhicules de toutes les époques du constructeur, et les a accumulés autour de sa maison, dans un chaos indescriptible.

Leur vie ressemble à la quête du Graal, et leurs trouvailles les mènent de surprise en surprise : pour les commissaires-priseurs, aucune journée ne ressemble à une autre, qu'ils aillent à la rencontre d'un collectionneur fou ou qu'ils découvrent un trésor insoupçonné, qu'ils croisent la petite ou la grande Histoire... Après des mois d'efforts, et leur lot de rencontres surprenantes, le temps s'accélère soudain lors des ventes aux enchères, où tout se joue en quelques heures, ou en quelques minutes, sous la houlette de ces showmen qui manient le marteau comme un chef d'orchestre manie la baguette, et qui savent comme personne attiser le désir des acheteurs pour faire flamber les enchères... Plongée dans le quotidien palpitant des commissaires-priseurs, ces magiciens des enchères. Une série inédite en 4 épisodes.

Dans ce 3e épisode, vous découvrirez Aurélie Vandevoorde qui officie pour Sotheby's, une des maisons d'enchères les plus connues et les plus prestigieuses... Et à notoriété exceptionnelle, enchères hors normes : en Bourgogne, elle sera chargée de la vente des Hospices de Beaune, la vente de charité la plus ancienne et la plus célèbre au monde. Chaque année, la production annuelle de ces vins rapporte des millions d'euros, qui financent des associations et l'hôpital local. La commissaire-priseur jouera du marteau devant un public enthousiaste de 700 personnes, aux côtés de personnalités du cinéma comme Jean Reno ou Eva Longoria. Mais le bilan de cette année pourrait bien être compromis par une météo qui a particulièrement mis à mal les récoltes.
Dans l'épisode précédent, Guillaume Cheroyan, et son expert Arnaud Sené découvraient une incroyable collection dans la campagne normande : toute la gamme des véhicules Citroën réunis dans le jardin d'un passionné, qui leur a dédié sa vie. 70 véhicules, qu'il faudra d'abord transporter, avant de les remettre en valeur, en espérant que la vente touchera au cœur les amateurs.
A Paris, Alexia Taiclet est spécialisée dans la vente de manuscrits et livres anciens. Elle s'apprête à recevoir un objet dont elle sait déjà qu'il marquera durablement sa carrière : le manuscrit de l'Etranger, le roman le plus célèbre d'Albert Camus, traduit dans 68 langues et vendu à des millions d'exemplaires dans le monde. La gageure pour elle sera d'abord de parvenir à fixer un prix. Avec une inconnue : quelle institution ou quel collectionneur fortuné s'offrira cette pièce majeure de notre patrimoine ?

Ce sont des œuvres de grands maîtres de l'art moderne, tels que Matisse, Picasso ou Delaunay que Louise de Causans, s'apprête à vendre. Mais certaines de ces toiles ont d'abord besoin d'un impressionnant travail de restauration ou même de passer sous un scanner ultra perfectionné pour s'assurer de leur authenticité. Dans le prochain épisode, elle saura si tout ce travail préparatoire séduira les acheteurs...

Leur vie ressemble à la quête du Graal, et leurs trouvailles les mènent de surprise en surprise : pour les commissaires-priseurs, aucune journée ne ressemble à une autre, qu'ils aillent à la rencontre d'un collectionneur fou ou qu'ils découvrent un trésor insoupçonné, qu'ils croisent la petite ou la grande Histoire... Après des mois d'efforts, et leur lot de rencontres surprenantes, le temps s'accélère soudain lors des ventes aux enchères, où tout se joue en quelques heures, ou en quelques minutes, sous la houlette de ces showmen, qui manient le marteau comme un chef d'orchestre manie la baguette, et qui savent comme personne attiser le désir des acheteurs pour faire flamber les enchères... Plongée dans le quotidien palpitant des commissaires-priseurs, ces magiciens des enchères. Une série inédite en 4 épisodes.
Dans ce dernier épisode de notre série, vous découvrirez Laurent Blomet, spécialisé dans un seul et unique type de vente : les Ferrari ! Dans quelques semaines, il proposera une trentaine de voitures aux enchères, des modèles datant des années 1950 aux années 2010 et dont certains valent plusieurs millions d'euros. Du stockage des voitures à leur transport, chaque étape requiert des conditions de sécurité maximales et des investissements conséquents pour Laurent.
Jean-Baptiste Camby rêve, lui aussi, de monter à la tribune. A 30 ans, il est en dernière année de formation pour devenir commissaire-priseur et passera dans six mois le très redouté examen final.
Sa maîtresse de stage n'est autre que Louise de Causans, qui dans l'épisode précédent préparait une vente d'art moderne. Ensemble, ils proposeront aux enchères une faïence de Picasso ou une esquisse de Matisse. Elle animera aussi une vente de bijoux, témoins d'une autre époque.
Quant à Solène Lainé, c'est en Mayenne, en pleine campagne, qu'elle découvre l'objet de sa prochaine vente : des chevaux de course. Un milieu auquel sa formation ne l'avait pas vraiment préparée, mais qui l'enthousiasme.